Projet de gestion et de restauration des Terres dégradées du Bassin Arachidier
Objectifs :
• contribuer au développement durable du secteur rural au Sénégal et à la préservation de l’intégrité et de la stabilité des écosystèmes pour assurer la durabilité de leurs fonctions et services.
• catalyser la gestion durable des terres au niveau paysage dans le but de combattre la dégradation des terres et de réduire la pauvreté.
• améliorer la fertilité des terres cultivables par le développement de technologies novatrices et adaptées
• rationnaliser l’utilisation des forêts et pâturages par la promotion des bonnes pratiques.
• harmoniser la politique et le partenariat local et renforcer les capacités pour la gestion intégrée des terres suivant l’approche paysage.
• rendre compatible les activités génératrices de revenus avec les principes de Gestion de Ressources Naturelles et Gestion Durable des Terres
• gérer les ressources apprises et le système de suivi.
Bailleurs :
PNUD : 500 000 $ US
FEM : 3 655 728 $ US
Etat du Sénégal :$ US dont
623 000 $ US cash et
778 112 $ US en nature
Autres Cofinancements parallèles 8 630 809 $ US
Phase : 2005- 2012
Phase de préparation ou PDF B : 2005 – 2007
Réalisations :
– lutte contre l’érosion éolienne dans la région de Thiès (tests sur 05 ha de terres cultivables)
– lutte contre la salinisation des terres sur 10 ha dans la région de Fatick
– 50 ha de mise en défens à Kaolack
– opérations test de fertilisation des terres sur 05ha
– finalisation document de projet
– mise en place comité de pilotage et comité technique
Phase I : 2007 – 2012
– les 11 PLD élaborés 2000 ha de terre intensifiés suivant le modèle du champ écologiquement viable ;
– 488 ha de terres salées restaurées ;
– 3604 ha de terres cultivables restaurées
– 60 000 ha pour quatre (04) plans d’actions des UP aménagées (Thiapédia, Diassarnabé Aly, Sam Kébé et Keur Ibra Binta) ; deux (02) UP ont été matérialisées physiquement et diffusion des conventions en langues locales ;
– quatorze (14) km de terres pastorales ont été délimitées à Kaolack
– 100 km de corridors délimités ;
– plans d’aménagement participatifs simplifiés validés pour 3039 ha
100 éleveurs ont adopté les pratiques d’intensification durables 100 éleveurs ont adopté les pratiques d’intensification durables